Bonjour et bienvenue sur notre site, ici Noémie et Joël, les fondateurs de la Casa Mariposa Eco Tattoo House !

La génèse du projet

Quand Noémie, la fondatrice de la maison et tatoueuse handpoke résidente, avait l’âge de 7 ou 8 ans, elle s’était mise en tête qu’une fois devenue adulte elle ouvrirait son petit magasin, qui lui permettrait de rester dans sa bulle et où elle pourrait y construire un endroit qui lui ressemble (enfant hypersensible, elle se sentait déjà en décalage de la norme et avait du mal à trouver sa place). Une toute petite graine venait d’être plantée en elle, qui deux décennies plus tard finirait par laisser apparaître sa première petite pousse verte au monde.

La vie a avancé, son lot d’aventures avec, mais l’idée est quand même restée dans un coin assez reculé de sa tête pendant très longtemps.

Il y a un peu plus de 6 ans (le 27 avril 2018 pour être précis, oui nous aimons la précision chez nous), les mots sont revenus à elle dans un éclair de lucidité totale : en plein émerveillement devant un coucher de soleil à la Barbade (où elle travaillait à l’époque en tant que directrice de l’Alliance Française de l’île – oui nous avons bien parlé d’aventures!), dont les rayons étaient filtrés par les palmiers à l’horizon et des singes qui jouaient dans le jardin parmi les manguiers, elle vu clair de ce qu’elle voulait faire de sa vie : protéger ce qu’elle voyait, protéger la beauté et la poésie du monde.

Pour ne rien oublier des nouvelles idées qui ont commencé à fuser dans son esprit, elle prit son calepin qui ne la quittait jamais et écrivit les premières lignes directrices de la nouvelle vie qui l’attendait plus tard…

Elle a eu comme l’impression d’avoir retrouvé la vue, après être restée si longtemps aveuglée par les illusions perdues et matérialistes de nos sociétés. Ces quelques lignes ainsi écrites firent germer la graine de ce rêve d’enfant, qui commença à pousser, pousser…

La naissance du projet – automne 2022

Finalement elle n’a pas ouvert de coffee shop durable, ni de restaurant eco-responsable, comme elle le désirait au départ et comme elle l’avait écrit. Mais encore une fois il n’y a pas de hasard : elle qui dessinait depuis toute petite et ayant abandonné cette pratique quand elle a commencé à travailler, c’est tout naturellement que le dessin est revenu à elle lorsqu’elle a repris contact avec la petite Noémie oubliée. Et de fil en aiguille le tatouage (technique du handpoke plus précisément) est arrivé dans sa vie devenant une véritable passion et mode de vie où elle a tout abandonné pour se consacrer entièrement à cette pratique artistique.

Deux ans après s’être lancée dans le tatouage et voyant bien que travailler dans un studio classique ne lui convenait pas du tout (valeurs et éthique de travail totalement opposées aux siennes), elle prit la grande décision d’ouvrir son propre salon de tatouage et elle ne fut pas seule dans la création de ce projet, elle demanda à son compagnon , Joël, de rejoindre l’aventure avec elle.